En signe de pose de la première pierre du nouvel édifice, nous réaliserons la Vastu Pûjâ le 19 février 2009. Nous tenons à rappeler aux lecteurs de ce blog, souvent néophytes en matière des us et coutumes indiennes, que la pûjâ est avant tout un rituel de vénération. Quand achète une voiture, une nouvelle maison ou un magasin, qu'on constuit un bâtiment ou un pont, bref avant tout type d'évènement agrémentant le quotidien, la pûjâ est l'acte obligatoire en qualité de préliminaire à l'élimination de toute énergie négative.
Elle se présente sous plusieurs formes : rites quotidiens, pèlerinages, prières, cérémonies, etc. Elle consiste en la descente d'une divinité en sa perception terrestre, qu'il s'agisse d'une image, d'une statue ou d'un symbole comme le linga.
L'invocation, réalisée par le pûjari, débute par le tintement d'une clochette, qui appelle la divinité. Elle se poursuit par l'offrande de fleurs fraîches, de denrées, d'encens, accompagnée de musique et de la récitation de mantras.
S'il s'agit d'une statue (ou d'une vache comme la photo ci contre), le pûjari l'oint d'huile, de camphre et de pâte de santal et la recouvre de guirlandes de fleurs.
Le linga (symbole du sexe masculin) est lavé de lait et d'eau sacrée comme celle du Gange. Le liquide ainsi versé se répand dans le yoni (symbole du sexe féminin). Puis, il oint de ghi, de pâte de santal et l'orne de fleurs. Le darshan marque le point culminant du rite, lorsque la divinité se révèle à tous.
La pûjâ est célèbrée dans les temples par les brahmanes. Par contre, dans le foyer, ce rite revient au chef de famille. Lors de la pose de la première pierre, c'est notre architecte qui assurera la pûjâ.
Elle se présente sous plusieurs formes : rites quotidiens, pèlerinages, prières, cérémonies, etc. Elle consiste en la descente d'une divinité en sa perception terrestre, qu'il s'agisse d'une image, d'une statue ou d'un symbole comme le linga.
L'invocation, réalisée par le pûjari, débute par le tintement d'une clochette, qui appelle la divinité. Elle se poursuit par l'offrande de fleurs fraîches, de denrées, d'encens, accompagnée de musique et de la récitation de mantras.
S'il s'agit d'une statue (ou d'une vache comme la photo ci contre), le pûjari l'oint d'huile, de camphre et de pâte de santal et la recouvre de guirlandes de fleurs.
Le linga (symbole du sexe masculin) est lavé de lait et d'eau sacrée comme celle du Gange. Le liquide ainsi versé se répand dans le yoni (symbole du sexe féminin). Puis, il oint de ghi, de pâte de santal et l'orne de fleurs. Le darshan marque le point culminant du rite, lorsque la divinité se révèle à tous.
La pûjâ est célèbrée dans les temples par les brahmanes. Par contre, dans le foyer, ce rite revient au chef de famille. Lors de la pose de la première pierre, c'est notre architecte qui assurera la pûjâ.
Publié le Dimanche 16 novembre 2008
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