Ancien comptoir français installé le long d'une plage de sable blanc, baignée par les eaux du golfe du Bengale, la ville de Pondichéry fut développée par le gouverneur français François Martin. Les rues se coupent à angles droits, ce qui est rare en Inde, et portent encore leurs noms français.
L'existence de la cité remonte très loin, aux temps védiques, où elle s'appelait Vedapuri et qu'y vivait le grand sage Agastya. En l'an 900, une université de sanskrit y avait pris une grande importance.
D'une flânerie dans les rues de cette "ville blanche", on retiendra le Musée où sont conservés meubles et objets de l'époque coloniale, le Lycée français, l'Ecole française d'Extrême Orient, l'Eglise Notre Dame des Anges, l'atelier de broderie des religieuses de St Joseph de Cluny, le monument aux morts, le monument dédié à Gandhi, en bordure de la mer, et la statue de Dupleix.
Il est agréable de flâner en fin de journée sur la promenade en bord de mer, ou et marchands ambulants y viennent également prendre le frais.
De nos jours, Pondichéry est surtout connue pour l'ashram de Shri Aurobindo (1872-1950), situé en pleine ville. Aurobindo, poète et philosophe bengali, fut un leader politique très actif dans le mouvement nationaliste en Inde au début du siècle. A partir de 1910, il se fixe définitivement à Pondichery. Il écrit divers ouvrages, qui connaîtront un large succès universel, concernant surtout la spiritualité. Il fonde un ashram à partir de 1926 et se consacrera au domaine spirituel, son but étant d'aider l'homme vers sa réalisation par les voies du Yoga.
Sa compagne, Mira Alfassa (appelée "la Mère"), prend une part active dans cette aventure. Après la mort du Maître, elle assure la continuité des activités de l'ashram et poursuit concrètement son oeuvre de synthèse entre la spiritualité et la vie quotidienne. Shri Aurobindo est inhumé dans cet ashram, ainsi que la Mère. De nombreuses personnes viennent s'y recueillir.
Dans une utopie généreuse on doit à la Mère la construction d'Auroville, à quelques kilomètres de Pondichery, que l'on peut visiter. C'est un architecte Français, Roger Anger, qui conçut les plans futuristes de cette cité, qui reste inachevée.
L'existence de la cité remonte très loin, aux temps védiques, où elle s'appelait Vedapuri et qu'y vivait le grand sage Agastya. En l'an 900, une université de sanskrit y avait pris une grande importance.
D'une flânerie dans les rues de cette "ville blanche", on retiendra le Musée où sont conservés meubles et objets de l'époque coloniale, le Lycée français, l'Ecole française d'Extrême Orient, l'Eglise Notre Dame des Anges, l'atelier de broderie des religieuses de St Joseph de Cluny, le monument aux morts, le monument dédié à Gandhi, en bordure de la mer, et la statue de Dupleix.
Il est agréable de flâner en fin de journée sur la promenade en bord de mer, ou et marchands ambulants y viennent également prendre le frais.
De nos jours, Pondichéry est surtout connue pour l'ashram de Shri Aurobindo (1872-1950), situé en pleine ville. Aurobindo, poète et philosophe bengali, fut un leader politique très actif dans le mouvement nationaliste en Inde au début du siècle. A partir de 1910, il se fixe définitivement à Pondichery. Il écrit divers ouvrages, qui connaîtront un large succès universel, concernant surtout la spiritualité. Il fonde un ashram à partir de 1926 et se consacrera au domaine spirituel, son but étant d'aider l'homme vers sa réalisation par les voies du Yoga.
Sa compagne, Mira Alfassa (appelée "la Mère"), prend une part active dans cette aventure. Après la mort du Maître, elle assure la continuité des activités de l'ashram et poursuit concrètement son oeuvre de synthèse entre la spiritualité et la vie quotidienne. Shri Aurobindo est inhumé dans cet ashram, ainsi que la Mère. De nombreuses personnes viennent s'y recueillir.
Dans une utopie généreuse on doit à la Mère la construction d'Auroville, à quelques kilomètres de Pondichery, que l'on peut visiter. C'est un architecte Français, Roger Anger, qui conçut les plans futuristes de cette cité, qui reste inachevée.
Publié le Mardi 11 novembre 2008
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