vendredi 4 février 2011

CALEPIN DE VOYAGE : 2 semaines pour traverser le Tamil Nadu

Du 12 au 25 février nous étions au Tamil Nadu (தமிழ் நாடு) et nous vous invitons à nous suivre, du moins par le biais de ce carnet de voyage dont l'ambition se résume à compléter les précédents que vous pouvez re-parcourir dans la rubrique "calepin de voyage" mais aussi destiné à donner des nouvelles quotidiennes à nos familles, amis et adhérents qui étaient restés en France. Nous y étions non seulement pour continuer la préparation de ce que nous appellerons "tamil solidarity trips", mais aussi pour la poursuite du chantier "Kilvelur 2008". Loin des foules, de la circulation anarchique et polluante des grandes métropoles indiennes, nous avons parcouru près de 1700 kms dans notre ambasador habituelle, symbolisant pour nous un mode vie au même titre que le port du Sari par la femme indienne, cela parmi les paysages du monde rural de l’unique état du Tamil Nadu ou nous nous sommes déjà laissés entraîner, immerger dans la culture hindoue depuis 14 ans. Désireux de parcourir cette année le Tamil Nadu du sud au nord, exceptionnellement nous atterrissons au Kerala, à 4h30, à 55 km de la frontière, non loin de l’extrême sud du Tamil Nadu (enfin 90 km, ou 2 h de voiture). Notre point de départ sera donc Kanyakumari (Cap Comorin). Kanyakumari, plus connu sous le nom de Cap Comorin, constitue l'extrême pointe sud de l'Inde. Ce point de rencontre de la mer d'Oman, du Golfe de Mannar et de l'Océan Indien est appelé par les Indiens "Kanyakumari", le Cap de la Jeune Fille, en souvenir d'une légende. C'est en effet le lieu mythique où la déesse, malgré ses efforts, ne put obtenir la main du Seigneur Shiva et dut se résoudre au célibat. De la plage, du haut d'une tour panoramique en béton construite face à l'hotel Tamil Nadu, on peut admirer un lever de soleil aussi extraordinaire que son coucher. Des milliers d'indiens y assistent chaque jour de l'année, matin et soir, dans un silence quasi total, très recueilli. Cette terre est sacrée pour les hindous qui y viennent en pèlerinage. Ils se baignent dans la mer et dans le bassin du temple de la déesse Kanyakumari. C’est aussi ici que les cendres de Gandhi furent éparpillées. C’est un lieu symbolique pour les touristes indiens qui arrivent par cars entiers pour admirer les levers et couchers de soleil sur les 3 mers qui se rencontrent. Après avoir dormi jusqu'à midi, nous partons découvrir sous un soleil de plomb, accompagné d'une brise venant du large, cette ville de l'extrême sud : le Gandhi Memorial puis le Vivekananda Rock Memorial à plus de 500 m de la plage. A côté du Vivekananda Rock Memorial trône l'immense statue représentant Thiruvalluvar, poête du 1er siècle av.J-C, unanimement vénéré par les indiens. On se souviendra toujours de ces 20' de bateau dans une mer remuante, munis de gilets de sauvetage, aux côtés d'une centaine d'indiennes hurlant chaque fois qu'une vague venait se briser sur ce vieux ferry rouillé en les aspergeant. Sur cet îlot rocheux on y trouve un temple construit en mémoire du philosophe Swami Vivekananda ainsi que l'empreinte du pied qu'aurait laissée la déesse Devi. Un bien joli endroit pour démarrer notre périple ou les principaux touristes ne sont qu'indiens et un premier coucher de soleil (entre 18 et 18h30) partagé avec des centaines d'indiens . Dans les environs soit à 13 km, sur la route du Kerala, nous visitons le Temple de Suchindram ou Shiva, Vishnou et Brahma nous y acceuille, ainsi qu'une immense statue de d'Hanuman. Les hommes doivent y entrer dévêtus (du haut seulement). Sur certaines colonnes, de nombreuses scènes érotiques y sont sculptées. Sur la route de Tirunelveli à Madurai, au prix d'un crochet, on a pu admirer le remarquable temple excavé de Kalugumalai (soit 130 km au nord de Kanyakumari), réplique modeste du Kailash d'Ellora. Ce lieu extraordinaire se trouve à 48 km au nord de Tirunelveli, un peu à l'écart de la route de Madurai. A proximité immédiate de ce gros village se dresse une colline granitique au dos arrondi que l'on gravit par des marches taillées dans le roc. Les Pandya (8e siècle) creusèrent le rocher verticalement, pour édifier un sanctuaire entièrement dégagé du rocher. On a pu comparer cette réalisation au célébrissime temple de Kailasha à Ellora (Maharashtra). Bien que beaucoup moins vaste et complexe que le Kailasha, le site de Kalugumalai (கழுகுமலை) demeure quand même impressionnant et mérite largement le détour. En suivant le flanc de la montagne sculpté, nous atteignons un deuxième temple, plus haut sur la colline, qui à l'inverse de l'autre se trouve entièrement creusé dans le rocher et se présente sous la forme de deux salles reliées par un boyau ou l'on ne peut passer qu'accroupi ou à quatre pattes. La deuxième salle à une hauteur inférieure à 1,80, de moins de 6 m2, et dont la voute sert de point d'accroche à des 10aines de chauves souris, est utilisée pour la méditation. Après cette visite qui n'a pas laissée insensible Ingrid (cohabitation forcée avec les chauves souris) nous partons pour Madurai. Après avoir fait plus de 250 kms en cette 2ième journée indienne, nous prenons un hotel pour deux nuits, duquel nous aurons de leur terrasse panoramique une vue sur le temple.
Madurai est un grand centre religieux, mais c’est avant tout un temple, l’un des plus impressionnants du pays, dédié à Meenakshi, la déesse aux yeux de poisson. Pour notre première visite matinale, nous nous rendons au temple fraichement repeint ou ceux de Tiruvannamalai, Srirangam bien qu'aussi grands passent pour être plus intimistes, car celui-ci est totalement envahi de touristes occidentaux. Face à cette invasion, les responsables du temple ont jugé interdire l'accès des parties sacrées non seulement aux non hindous (peu vérifiable) mais aux étrangers. Trouvant la chose choquante, car alors qu'un indien chrétien ou musulman peu accéder à toutes les pièces sans être inquiété le seul fait d'avoir la peau blanche nous bloque la porte, nous nous somme alors glissé dans la file et sommes allé jusqu'au coeur du sacré pour accomplir notre puja quotidienne . Afin qu'il n'y ai pas de méprise auprès de nos lecteurs, nous tenons à rappeler qu'en 14 ans de visites de plusieurs centaines de temples, nous avons toujours respecté les sites uniquement réservés aux hindous et celà sans jamais user des passe droits acquis au fil des années auprès de managers de temples connaissant les actions que nous portons en inde. La chose étant close, loin de braver les interdits, respectueux des us et coutumes, nous poursuivons la visite par le Pudu Mandapa, ancien temple du 10ième siècle, habritant aujourd'hui des centaines de tailleurs. Nous éloignant des lieux quelque peu pervertis par l'arrivée de trop de touristes étrangers, nous allons au contact de la population que nous connaissons le mieux, celle qui accueille sans retenue, qui souhaite montrer ce qu'elle fait, sa condition de vie. Pour cela nous visitons les quartiers proches du fleuve et allons à la rencontre des forgerons, des libraires, des bouchers, des blanchisseurs. L'après midi, nous la passons au Tirumalai Nayak Palace, palais indo-mauresque construit au 17ième siècle par un architecte italien habritant un petit musée. Le dernier coup d'oeil de Madurai que nous visitons pour la deuxième fois est consacré au bassin de Teppakulam, construit en 1645 sur lequel est élevé un petit Temple. Dernière nuit à Madurai avant notre départ pour Rameshvaram, à 170 km à l'Est.

Rameswaram est sur une île que l'on atteint par un superbe pont à péage (duquel la vue est magnifique) qui enjambe un bras de mer de plus de 2 kms de large (ainsi que la voie ferrée sur un deuxième en contrebas). Les hindous disent que tout pèlerin qui s'est rendu à Bénarès se doit, au moins une fois dans sa vie, d'aller également à Rameshvaram, et réciproquement. Rameshvaram est donc un important centre de pèlerinage. Les pèlerins ont pour habitude de ramener de l'eau du Gange et la déverser ici (et vice versa). Le temple de Ramanathaswami constitue l'un des très grands sanctuaires de l'Inde du sud. Dans un premier temps, les pèlerins accomplissent les rites d'ablution dans la mer voisine, ou une fois purifiés, y revêtent les vêtements qu'ils auront pour aller au Temple et y poursuivre leur purification, cela sur un parcours de 21 tirtham (puits alimentant des bassins) se trouvant dans l'enceinte du temple. Bien que visiteur on s'est vu proposer ces bains sacrés, mais n'ayant pas de change, nous nous sommes contentés de rôder dans les longs couloirs, remarquables il est vrai. Proche de la ville (3 km), au coucher du soleil, nous nous sommes rendus sur la colline (une dune) où s'élève le petit temple Ghanda Madhana Parvatan. On y voit l'empreinte d'un pied du dieu Râma (l'un des avatars de Vishnu). Très belle vue sur les environs, et brise de mer y très agréable. Dans cette ville très peu touristique, d’où notre intérêt d’y séjourner plusieurs jours il y règne une atmosphère de petit Bénarès du sud de l’inde. Tout hindou souhaite venir y prier au moins une fois dans sa vie, parce que Rama y est allé se purifier du meurtre du démon Ravana qui lui avait volé sa femme Sita. Nous nous y sommes baignés parmi des milliers d'indiens, cela en suivant les rituels que plusieurs autochtones ont bien voulu nous apprendre. A son retour de Ceylan, il érigea un lingam pour remercier Shiva. Dès l’apparition du soleil, shivaïtes et visnouites se rassemblent sur la plage pour toutes sortes de rituels et prières, puis se dirigent vers le temple de Ramanatha Swamy pour y effectuer une série d’ablutions. Une première journée qui va inscrire en nous cette destination comme phare pour l'avenir et conforte notre envie d'aller à Bénares.Ce deuxième jour commence par la plage ou les pèlerins se baignent. Ensuite nous allons à la découverte des environs de Rameswaram. Première destination, Dhanushkodi ou la balade du bout du monde (22 km du centre, 18 km des côtes de Ceylan), lieu sacré de pèlerinage ou la baignade y est considérée aussi comme sacrée. Si les 12 premiers km se font aisément avec notre ambassador, c'est à bord d'un camion que l'on termine les 10 km de piste ensablée, cela sous un soleil de plomb. Dhanushkodi n'est autre qu'une ville fantôme car celle-ci fut détruite par un cyclone en 1964 et les derniers vestiges par le Tsunami de 2004. Nous avons pu et cela avec grand plaisir y boire l'eau extraite des quelques puits d'eau douce creusés sur cette langue de sable. Les îlots ainsi formés jusqu'au Srilanka sont considérés par les hindous comme les vestiges du pont construit par Hanuman et son armée de singes pour permettre à Rama de traverser. Tout au long du trajet les paysages sont fantastiques : dunes, huttes en feuilles de palme, sable fin, aigles et mer bleu turquoise. Au retour vers Rameswaram, nous nous arrêtons au Temple de Kothandarama où la baignade dans la mer toute proche y est considérée comme sacrée. Enfin, toute l'après midi est consacrée à la flanerie dans les rues de Rameswaram ainsi que la côte sauvage d’Olaikuda (après le village des pécheurs).Nous quittons avec beaucoup de tristesse cette ville très attachante dans une inde authentique, pour visiter la région de Karaikkudi et plus précisement Chettinad. Chettinad est un village, un petit coin assez étonnant où toutes les habitations sont d’anciens palais plus ou moins entretenus. Cette région est composée de quelque 75 villages, dont Karaikudi est la capitale, autrefois habitée par une prospère communauté de banquiers et hommes d’affaires qui ont quitté les lieux à la fin du19e et début du 20e siècle. Aujourd’hui ces villages sont un peu hors du temps, on se balade dans les rues désertes bordées de vieux palais dont certains en piteux états, à l’abandon pour la plupart. Certains sont occupés à l’occasion de mariages ou autres réunions de famille, d’autres ont été transformés en hôtels, ou servent pour des tournages de films. En partance pour kilvelur, nous visitons le plus célèbre lieu de pèlerinage de Ganesh au Tamil Nadu, à Tiruppattur : Pillayarpatti. Pour rejoindre la route de kilvelur nous passons par le fort de Tirumayam avec a son pied un magnifique Temple rupestre dédié à Vishnou et Shiva et pour toute dernière étape dans la région nous nous arrêtons au Temple de Sittanavasal, creusé dans la roche. Il est tout petit et dispose de peintures faites de pigments naturels très bien conservés. Bénéficiant d'une acoustique incomparable, laissez vous aller à écouter le Ôm ! frisson garanti.
Reprise de la route …………… pour arrivée à Kilvelur vers 16 heures... Sans tarder nous allons à l'école ou nous y retrouvons nos deux compères, Philippe et Stéphane arrivés en éclaireurs 2 jours avant nous et Saras qui y travaille encore. Nous passerons la fin d'après midi à visionner différents films de notre ONG dans la salle de projection nouvellement créée et à parler du projet que sont venus réaliser les Tiramisus l'été 2010 (Scouts Mulhousiens ayant réalisé une fresque murale).
Une journée consacrée aux visites de nos amis ainsi qu'a l'estimation de l’avancement du chantier avec Ganessan et Saras, et la rencontre de Michel, président d'AJAI ADI, ONG partenaire au projet Kilvelur 2008. La matinée est consacrée à l'école de Kilvelur ainsi qu'au change de nos euros (du chantier) en roupies. Dans l'aprèm, nous partons à Arasur pour visiter la petite école (28 élèves) de Kaliani. Nous leur avons fourni en 2010 deux ordinateurs et nous voulions voir l'usage qu'il en est fait. A 19h, c'est l'heure officielle ou nous remettons l'argent à Ganessan, notre Architecte et entrepreneur (420000 Rps). Enfin vers 21h, nous rencontrons Saatchi pour lui exposer notre projet de voir sa maison transformée en Guesthouse pour les futurs voyages solidaires que nous envisageons de faire passer par kilvelur. Non seulement pour visiter Kilvelur mais pour avoir un camp de base pour les nombreux sites a visiter dans un périmètre de 20 km.Journée de pluie ! Rencontre du responsable des managers des temples du districk de Naggapatinam à Sikkal afin de lui présenter nos action d'aide au developpement scolaire à Kilvelur, lui-même sponsor de l'AVAGHS. Déjeuner avec Ghandi village en vu de l'identification d'un éventuel projet d'été 2011, pour les scouts Nantais qui se sont portés candidats. Dîner annuel avec la famille de Ganessan avant notre départ.Départ de Kilvelur vers 10h30 après avoir versé les larmes habituelles en quittant nos familles d'accueil mais aussi les 928 jeunes filles qui nous ont offert un spectacle en signe d'au revoir . Tranquebar (Tharangambadi) est une petite ville du Tamil Nadu, sur la côte de Coromandel à quelques kilomètres seulement de Karikal, comptoir Français (40 km de kilvelur) . Cette côte a toujours été très convoitée et fréquentée et Tranquebar ne fait donc pas exception : ce fut un comptoir de commerce appartenant aux Danois qui ont marqué de leur empreinte le lieu, notamment en y faisant des fortifications. Tharangambadi a d'abord été un petit village de pêcheurs et de commerçants jusqu'à l'arrivée des Danois en 1620 qui y firent construire le fort Dansborg qui abrite aujourd'hui un tout petit musée. La communauté se met en place au cours des 17e et 18e siècles avec la construction d'églises, l'émission de pièces de monnaie, la traduction et l'impression de la Bible en tamoul. Tranquebar redevient indienne en 1947 après être passée dans les mains des Britanniques au 19e. Une des caractéristiques de Tranquebar est l'architecture coloniale danoise. La ville paraît unique grâce à sa forme architecturale, résultat d'une synthèse entre danois et tamoul pour s'adapter au climat tropical. On y entre par une porte et la rue principale qui nous conduit au fort ne semble appartenir qu'a des congrégations religieuses. Sur la plage on y trouve aussi un petit Temple en bien mauvais état. C'est vers 17h qu'on arrive à Puducherry.Parcourant les rues de Pondichéry depuis 1998, nous n’y effectuons plus, tout comme à Mamallapuram, que les courses de dernière minute ; cela entre les visites des amis que nous avons pu y rencontrer au fil des ans. Cette ville, ancien comptoir français, baignée par les eaux du golfe du Bengale, fut développée par le gouverneur français François Martin. Les rues s’y coupent à angles droits, ce qui est rare en Inde excepté Jaipur, et portent encore leurs noms français. L'existence de la cité remonte très loin, aux temps védiques, où elle s'appelait Vedapuri et qu'y vivait le grand sage Agastya. En l'an 900, une université de sanskrit y avait pris une grande importance. D'une flânerie dans les rues de la "ville blanche", on retiendra le Musée où sont conservés meubles et objets de l'époque coloniale, le Lycée français, l'Ecole française d'Extrême Orient, l'Eglise Notre Dame des Anges, l'atelier de broderie des religieuses de St Joseph de Cluny, le monument aux morts, le monument dédié à Gandhi, en bordure de la mer, et la statue de Dupleix. Cependant, nous ne saurons que vous rappeler combien il est agréable de flâner en fin de journée sur la promenade en bord de mer, ou et marchands ambulants y viennent également prendre le frais. Toujours sur le chemin du retour, nous arrêterons à Mamallapuram, ville côtière très visitée pour y voir non seulement la fresque grandiose taillée en bas-relief dans une paroi rocheuse que l'on désigne sous le nom de la "Descente du Gange" mais les multiples magasins et tailleurs de pierre. Nous abandonnons l’Inde à cet instant car après avoir acheté nos derniers cadeaux nous nous réfugierons à notre hôtel pour un ultime et unique diner auprès de la piscine et nous reposer quelques heures avant de regagner l’aéroport de Chennai. Un ultime au revoir à Arasu, notre chauffeur depuis plusieurs années qui était venu au Kerala le 13 au matin en se promettant d'être au prochain rendez-vous l'an prochain, pour faire le Tamil Nadu et le début de la découverte du Karnataka.
Le vendredi 25 février, partis à 4h30 de Chennai, c'est à 15 heures que nous étions revenus aux Ulis .............. Le détail du périple, soit 1700 km dans de nouveaux lieux vous seront commentés et illustrés de photos dans un message futur et dédié aux voyages.

mercredi 2 février 2011

GENERAL : La Lettre d'Information du mois de Février 2011

Pour recevoir en direct la Newsletter de l'idep, il faut en avoir fait la demande où être membre de l'ONG, donateur, parrain de la construction, mécène ou sponsor. Vous qui avez la chance d'être déjà abonné, copiez le lien de cette page et diffusez le à votre entourage en nous recommandant. Ainsi, vous deviendrez membre actif de la "solidaire attitude". Vous avez par le biais d'un collègue, d'un ami découvert ce canal d'information adapté au suivi d'avancement du projet, vous pouvez uniquement recevoir la Newsletter et faire partie de la mail-list en écrivant à : indiandevelopment_educationproject@orange.fr
Pour lire la lettre dans de bonnes conditions : cliquez dessus ...................................
Vous souhaitez en un clic parcourir l'ensemble de nos Newsletters, rendez-vous sur notre rubrique "toutes nos lettres d'informations"